dimanche 13 décembre 2015

10 decembre 1915 Gustave s’empresse à chaque lettre de rassurer sa maman (même si cela ne doit pas être facile tous les jours), il parle des labours « je suis heureux que les labours marchent bien » (la même phase que Cyrille dans sa lettre du 10 décembre) Le sujet de « Mr et Mme Millet » qui pose soucis. Un mot tendre pour ses petites sœurs, il évoque cette permission tant attendue début 1916 mais « d’ici la il peut y avoir des contre ordres à chaque instants »


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