« X le 26 août 1917
Ma chère sœur
J’ai reçu ta lettre me faisant savoir que tu étais chez Juliette enfin j’en suis heureux, ça te distrait n’est ce pas? Tu passeras un peu cette monotonie de la campagne dans cette belle ville d’Alger qui est si gaie et si bruyante.
Quand a moi je suis dans un patelin de France ou il y a que les tirailleurs comme distraction du village. Je compte sur toi pour ne pas faire d’imprudence et Juliette ainsi que cousin Perrault doivent être content de toi. As-tu étais chez Henriette. Et as-tu trouvée Charlot grandis n’est ce pas?
Quand espères tu retourner à Bir Rabalou, je sais qu’Alger doit te plaire mais la force des choses t’obligeras à retourner à ce petit Bir Rabalou que j’aime beaucoup.
Aujourd’hui dimanche je suis allé ce matin à la messe et actuellement il est trois heures de l’après midi que je t’écrit après avoir fais une bonne sieste d’environ deux heures.
Pour le moment je suis obligé de m’arrêter en t’embrassant bien fort et sans oublier Cousin Perrault, Juliette et Riri.
Quand a moi je suis dans un patelin de France ou il y a que les tirailleurs comme distraction du village. Je compte sur toi pour ne pas faire d’imprudence et Juliette ainsi que cousin Perrault doivent être content de toi. As-tu étais chez Henriette. Et as-tu trouvée Charlot grandis n’est ce pas?
Quand espères tu retourner à Bir Rabalou, je sais qu’Alger doit te plaire mais la force des choses t’obligeras à retourner à ce petit Bir Rabalou que j’aime beaucoup.
Aujourd’hui dimanche je suis allé ce matin à la messe et actuellement il est trois heures de l’après midi que je t’écrit après avoir fais une bonne sieste d’environ deux heures.
Pour le moment je suis obligé de m’arrêter en t’embrassant bien fort et sans oublier Cousin Perrault, Juliette et Riri.
Gustave
PS bien des choses à cousine Henriette et Charlot pour moi »
PS bien des choses à cousine Henriette et Charlot pour moi »
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