« Commune de Bir Rabalou
Extrait du registre des actes de décès pour l’année 19
L’an mil neuf cent quatorze le vingt trois aout, nous Tartaix Auguste adjoint de la commune de Bir Rabalou avons procédé à la transcription de l’acte de décès ci-dessous :
Du vingt deuxième jour du mois d’aout, l’an mil neuf cent quatorze à quinze heures
ACTE DE DECES de Fortier Gabriel Luc Thiebault époux de Lebrun Rosalie, décédé à l’hôpital militaire d’Aumale le vingt et un aout à dix neuf heures âgé de cinquante ans, cultivateur, né à Bône (Constantine) demeurant à Tablat
Fils de feu Joseph et de feue Kientz Geneviève.
Sur la déclaration faite à nous par les sieurs :
1° Delaize Marcel infirmier militaire à Aumale agé de vingt deux ans, non parent du défunt.
2° Dempy Ernest employé demeurant à Aumale âgé de trente six ans non parent du défunt.
Lesquels ont signé après lecture faite le présent acte qui a été fait double en leur présence et constaté suivant la loi par Nous.
Brive Victor adjoint au maire de la commune d’Aumale.
A Bir Rabalou le 10 avril 1928
Le maire»
Toujours intéressé par l’histoire, je me suis plongé sur le parcours de Cyrille et Gustave Fortier, mes 2 grands oncles. De précieux témoignages, constitués de correspondances des Fortier sur la période 1915 1918, des Journaux de marche des régiments, ont permis de redonner vie à cette période difficile. Avec 300 lettres et documents, je vais faire revivre et partager la vie des mes 2 grands oncles sur cette période. https://www.facebook.com/gustavefortier https://twitter.com/GustaveFortier
mercredi 22 août 2018
23 août 1914 : il y a 104 ans, Décès de Gabriel Fortier, père de Gustave et Cyrille de Maladie à l’hôpital militaire d'Aumale. Gabriel était manifestement de santé fragile, il sera ajourné de son service militaire en 1885, 1886 et passe dans les services auxiliaires en 1887 pour une petite année. Avec le décès de Gabriel au début de la Guerre, le départ de Cyrille, tué le 15 juillet 1916 (né le 23 août 1895), le départ de Gustave en 1915 a la Guerre, Rosalie, comme beaucoup de femme à l'époque, doit tenir tant bien que mal la ferme.
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