« Le 1er Aout 1918
Ma chère sœur
Je viens te mettre un petit mot en même temps que la carte à Berthe, je te fais savoir que ça va toujours assez bien et j’ai reçu des nouvelles d’Adolphe il y a pas longtemps sur lesquelles il me dit qu’il il y a passer de près, c’est comme moi tout les jours on risque a se faire descendre comme des moineaux.
Dernièrement j’ai tué cinq Boches qui voulaient faire les malins mais grâce à Dieu je m’en suis tiré.
Je t’embrasse ainsi que la petite Alice et embrasse bien toute la famille pour moi, ton frère.
Dernièrement j’ai tué cinq Boches qui voulaient faire les malins mais grâce à Dieu je m’en suis tiré.
Je t’embrasse ainsi que la petite Alice et embrasse bien toute la famille pour moi, ton frère.
Gustave »
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